Des papiers qui traînent sur une table.

Titre : Le réveil des…
-Oh non ! Impossible !


J’erre dans un cimetière.
Marchant pour trouver père et mère
Qui en mer, trépassèrent

Enfin voilà le caveau.
Diantre ! Il est ouvert.
J’entre dans le tombeau.

Misère ! Vides sont les bières.
Je tombe de haut.
Personne n’est entrée dans ce tombeau...

Titre : L’ours ennuyé devient ennuyé. Mais autrement.

L’Ours bailla.
L’Abeille brailla.
« A mon miel tu ne toucheras pas. »
-Toi seule ! Tu m’en n'empêcheras pas.
Tu m’ennuies. Pourquoi ne partirais-tu pas ?
-Je ne partirai pas !
-Petite que tu es, tu ne m’arrêteras pas.
- Je ne partirai pas.
A mon miel, tu ne toucheras pas !
-Tu le regretteras.
- Je ne partirai pas !
L’Ours bailla.
L’Abeille il tua.
D’un agile coup de bras.
Sa main, dans la ruche de l’arbre, il plongea.
Un miel succulent, il mangea.
Mais la ruche du tronc de l’arbre, se réveilla.
D’abeilles, une armée se constitua.
Une armée d’abeilles effarouchées, attaqua.
L’Ours surprit, au loin s’en alla.
Ça pour sûr, l’ours s’en souviendra.

Il faut qu’il sache.
Que derrière une simple abeille se cache.
Une multitude d’abeilles.
Qui pour du miel.
Tout rouge, se fâchent.

Coharess, en parcourant la bibliothèque, fait tomber un papier. Il la ramasse.
Un sourire s'esquisse.

Je me demande si les Taurens aiment le miel...

Coharess range le bout de papier.

[HRP] J'apprécie beaucoup !

Ce style te va bien, et me rappelle un brin de Devos. Une préférence peut-être pour le tombeau
C'est fou ce qu'on peut trouver des lectures intéressantes dans Azeroth ! [/HRP]

Se lève, le jour.
Et pour toujours…
Nous nous souviendrons du son des tambours.

Tambours, qui hier, sonnaient la guerre.
Tambours, qui aujourd’hui, sonnent la misère.

Sur un rythme long, ils sonnent le glas.
Pour ceux, qui trop tôt, ont rejoint l’au-delà.

L’éternité ?
Les vivants, assurément, ne la connaissent pas.
Ne la connaissent, que ceux pour qui nous avons sonné le glas

Alors voulez-vous connaître l’éternité ?
Si oui, je peux vous aider.

[ une indication en dessous de ces quelques phrases, semble indiquer que ces dernières ont été réalisées par un assassin. Mais hélas une tâche d'encre cache son nom]

Dans la taverne du buveur imbu.
Buvaient nains et humains barbus.
De bonnes humeurs, tous l’étaient au début.
Mais nombreuses pintes ont été bues.

Les hostilités  entre les deux races, réapparaissaient.
Les hordeux, leurs ennemis communs étaient.
Mais qui faisait la meilleure barbe les séparaient.
« Nabots de petite taille pour barbe longue !
 De couverture, voilà à quoi vous  sert cette barbe longue !
 -Humain vous qui êtes des lavettes.
   Votre barbe ne vous sert que de bavette. »

Les paroles ne suffisant plus.
Dans l’assemblée, des coups de poing, il plut.
Pour cette nuit, nains et humains, alliés ils ne l’étaient plus.

[HRP] Mon petit Ari', on va éditer un petit recueil sur WoW que tu liras à l'aventure en soirée RP. [/HRP]

Lignes, par lignes,
Les armées défilent.
Heures par heures, les cadavres s'empilent.

Encore une fois, devant l'humanité.
Les Hommes, se défilent.
Pourtant face à ces atrocités.
Ils continuent, ils rempilent.

Quand un fou nous menace.
Quand sa folie,
Ne laisse aucune place.
A aucune diplomatie.
Comment pouvons nous y faire face?

Devons nous, à son niveau, s’abaisser?
Au risque de le regretter.

Le vent souffle.
A l'aise dans mes pantoufles.
Au chaud dans mes moufle.
J'admire ce paysage à couper le souffle.

De la porte de mon chalet,
J'observe les feuilles qui jouent un ballet.

Un plat étang,
Devant moi s'étant. 

D'ici aucune civilisation est audible.
Je suis seul dans ce paysage paisible.
Seul dans cette vallée.
Seul à la contempler.

Alors, j'oublie.
J'oublie tout mes soucis.
Plus rien de nuisible m'atteint.
Plus rien qui puisse nourrir un  chagrin.

Seul compte ce froid environnement.
Qui malgré le froid comme désagrément.
Ce paysage est enivrant.

Longue marche forcée
Sur cette montée escarpée.
Longue marche sous la pluie
Nous allons, vidant notre esprit.

Ne pas penser.
Sinon vous vous arrêterez.
Ce qui vous fera exécuté.
Et sans cérémonie, inhumé.

Marchant, tel des mort-vivants.
A travers cette haute montagne.
Le désespoir nous gagne.
Mais nous nous devons d'aller de l'avant.

Si vous avancez.
Il y aura peut-être la mort.
Si vous reculez.
Il y aura forcément la mort.

Nous marchons à en user nos pied.
Nous marchons en serrant nos dent.
Surtout ne pas s'arrêter.
Il faut toujours aller de l'avant.

Allez de l'avant.
Nous nous le répétons incessamment.
Afin d'être pour nos camarade, un pilier.
Pour qu'aucuns de nous n'aient l'idée d'abandonné.

Ensemble nous nous donnons de la vigueur.
Ensemble nous maintenant un semblant d'humeur.

Voila notre philosophie.
Celle qui nous fait soutenir nos amis.
Sans lesquels nous ne pourrions perdurer.
Au travers de toutes ces difficultés.


D'après les sources. Ce texte viendrait d'un esclave de la Kapitalrisk.




Voici qu'arrive l'heure. 
D'une terrible terreur. 

Avec lenteur,
Elles sèment l'horreur.

Par leur regard, vous êtes paralysés.
Et ainsi attrapé, vous serez écorchés.

Et vous serez dévorés,
Pour les rassasiées.

Bêtes avec griffes.
Bêtes avec crocs.
Elles cherchent quelques êtres vif.
Avant de trouver leur repos.


Ce texte m'a été rapporté, sans que l'on me dise d'où il venait.